Mes chers amis, autant vous prévenir de suite : cet article est aussi kiffant qu’il est long… autant dire très long ! J’ai donc pensé à quelques stratégies pour faciliter la tâche à ceux qui travaillent (et qui ont un N+1 méga relou) : je conseille de faire un copier/coller de cet acte V dans un document Word, et de mettre un titre du genre « ANALYSE DES VENTES » ou « AUDIT D’ACQUISITION », ou toutes autres choses qui concernent votre taf… Et pour ceux qui ont un chef vraiment méga-relou (voir un taf vraiment méga-relou), je conseille de faire comme moi : claquer la porte ! Voilà, maintenant que vous êtes prêts :
Allez hop, c’est parti, suivez- moi !
Résumé très résumé des actes I – II – III – IV :
« Opéra Garnier – 17 Janvier 1876
Mon pote Charles Garnier m’a invité à une représentation dans son Opéra, où il ne m’arrive que des trucs de dingues. Après réflexion, je n’aurais peut-être pas dû venir, voyez-vous même… »
Je courais du plus vite que me le permettaient mon corset, prêt à me perforer un poumon, et la longue traine de ma robe, prête à se prendre dans… tout. Bon, autant dire que je marchais à petits pas rapides en dandinant du faux cul. Ce qui finit enfin par me faire arriver… devant le grand escalier de l’Opéra.
– Silence –
Puis :
« Sa mère en short !! » (Interjection que je réserve aux moments d’intense stupéfaction)
Malgré mon empressement à aller reluquer du bel aristo qui se pressait dans l’aile des abonnés, je restais hypnotisée.
Un immense escalier de marbre blanc, semblable à quelques rivières enchantées de la mythologie, déversait devant moi un flot de longues marches immaculées. De part et d’autre, montée sur deux petits pontons circulaires d’onyx, des groupes de femmes nues semblaient se contorsionner de plaisir, comme une invitation à embarquer pour l’odyssée.
Elles dressaient, dans un même élan extatique, leurs seins de bronze et leurs candélabres enflammés. Le ciel lui-même promettait au voyageur le paradis céleste : sur la coupole du plafond, Orphée jouait de la lyre alangui au milieu de roses nuages, tandis que le bel « Apollon triomphant sur son char » ne semblait attendre que moi pour remettre ses chevaux au galop…
Je gravissais déjà machinalement les marches offertes vers ce mont Olympe, quand tout à coup, je fus brutalement ramenée à la réalité : je venais de me faire tamponner le croupion par un faux cul encore plus opulent de dentelles que le mien ! Serait-ce Kim Kardashian ? Manquant de tomber, je m’accrochai à la rambarde.
Le gout suave et sucré du rêve olympien venait de se transformer en gout piquant de la moutarde de Dijon, qui me montait dangereusement au nez. J’ouvrais déjà la bouche pour déverser un flot de paroles bien moutardées, quand le gros faux-cul se retourna :
« Veuillez pardonner ma maladresse, Mademoiselle, je suis confuse ! J’espère ne pas vous avoir blessée. Laissez-moi réparer cette offense en vous offrant un rafraichissement pendant l’entracte. »
Je restai un instant interloquée. Ce n’était point l’abominable Kim Kardashian mais l’incroyable Orphée, qui était descendue de son plafond pour me chanter ces douces paroles.
En effet, la belle voix cristalline de mon faux-cul tamponneur était un prélude à la beauté délicate de son visage. Je n’eus pas été surprise que Carpeaux (le pote sculpteur de Garnier) se fut inspiré de ce visage, de ce corps svelte et de ces fines épaules pour sculpter ses bombasses en marbre.
Je soupirai : « Ben, si elles sont toutes comme ça, j’aurais plus vite fait de pécho mon fantôme qu’un bel aristo… »(Lire le Fantôme de l’Opéra, acte IV). Moi qui croyais qu’elles étaient toutes grasses et moches à cette époque…
Je me ressaisis et dévalai l’escalier. J’arrivai au seuil de la retonde des abonnés.
Des hommes d’un chic à faire pâlir d’envie Gatsby le Magnifique se trouvaient rassemblés là. Gantés, chapeautés, badinant avec une canne ou roulant distraitement une jolie moustache entre leurs doigts, ils avaient l’allure que donne la particule, l’argent et surtout le 19ème siècle.
Quelques épaules féminines dénudées venaient jeter, ça et là, des tâches blanches au milieu des noires redingotes à queue de pie. Perchée sur quelques marches, je pouvais reluquer à loisir les visages. Je ne fus point déçue : au milieu de quelques vieux messieurs, caracolaient des sosies de Georges Duroy (Lire Bel-Ami de Maupassant) et autre Julien Sorel (Lire Le Rouge et le Noir de Stendhal). Je remarquais même un « presque Brad Pitt », c’est vous dire…
Contre toute attente, la noble allure de ces « hipsters » détonait curieusement avec la manque de noblesse de leur attitude : ils parlaient fort et gesticulaient encore plus fort.
Moi même étant sujette à ce phénomène « Poissonnière de Ménilmontant », cela ne les rendit que plus sympathiques à mes yeux. La fleur au fusil, je m’élançai dans ce troupeau de blasons, direction le « presque Brad Pitt ». Malheureusement pour moi je fus stoppée net dans ma chasse : mon pote Garnier (Lire Le fantôme de l’Opéra, Acte IV) venait de m’empoigner le bras.
« Lâche-moi, Charlie, j’ai pas le temps là ! En plus tu vas péter mon bracelet édition limitée de chez « Colette ».
– Ma chère, le spectacle commence, vous devez absolument monter tout de suite dans la loge que je vous ai réservée.
– Et lui, où est sa loge ? dis-je en désignant du menton ma target.
– Dans le parterre, j’imagine, comme tous les abonnés du jockey club.
– J’irais donc moi aussi dans les parterres !
– Mais vous ne pouvez pas, c’est réservé aux membres…
– Ah ça va, moi aussi je suis membre : je sais monter sur un canasson !
Charles me regarda ahuri :
– Je ne vois pas le rapport ! Le parterre est réservé aux membres masculins. Vous, vous êtes aux premières loges, avec les femmes. »
Tout en parlant, le rusé Garnier m’avait entrainé dans les couloirs.
Arrivé devant un lourd battant, il l’ouvrit, fit une brève révérence aux personnes qui s’y trouvaient, et me claquemura à l’intérieur. Je n’eus pas le temps de protester que déjà Charles avait foutu le camp, que la lumière s’était éteinte et que le lourd rideau rouge de la scène venait de s’ouvrir…
Le spectacle sur scène ne m’absorba pas très longtemps. J’étais bien plus intéressée par cette loge !
Première stupéfaction : sa grandeur. Elle se prolongeait derrière moi en un salon cossu.
J’appris plus tard que les abonnés devenaient locataires de leur loge en signant un bail devant notaire. Les abonnements se transmettaient alors comme les titres de noblesse. Les abonnés disposaient donc de leur loge comme bon leur semblaient et pouvaient la décorer avec leurs propres meubles.
Deuxième stupéfaction : Je reconnu mon Orphée de tout à l’heure, qui m’adressa un petit salut entendu. Une autre jeune fille sans grâce se tenait, malheureusement pour elle, à ses côtés. C’était en effet grand malheur pour cette jeune fille, dont la laideur se trouvait décuplée proportionnellement à la beauté de sa voisine, c’est à dire vachement beaucoup !
J’étais fort aise d’avoir été placée suffisamment loin de cet « avion de chasse »…
A côté de moi se tenait une dame d’un certain âge et fort bien mise, visiblement captivée par l’Opéra qui se jouait.
Je compris assez vite que je n’allais pas me fendre la gueule à ses côtés, mais au moins l’honneur était sauf, je n’avais point l’air d’un thon. Je compris aussi très vite l’importance de cette dernière chose quand je vis le nombre de spectateurs occupés à mater le public avec leurs petites jumelles.
On se désignait des gens du menton, on se saluait, on se chuchotait des choses à l’oreille hypocritement planqué derrière un éventail.
Bref, point capital à bien saisir : on est ici pour voir et être vu, le vrai spectacle étant le public et l’autre seulement un prétexte. Les confidences de mon ami Garnier prenaient tout leur sens : « mon Opéra est un palais dédié aux fastes de la vie mondaine, me disait-il. La vraie scène, ce sont les espaces publics, là où se joue la représention de la réussite sociale ».
Avide de représentation, même si je n’avais rien à représenter, et avide de gossip (où je pouvais montrer un vrai potentiel), j’ouvris moi aussi mon éventail et, faute de mieux, je me penchais vers la veille dame, tâchant d’engager la conversation. Elle me répliqua vertement : « Mademoiselle, si vous ne goutez pas l’Opéra, vous serez sûrement plus à votre aise dehors. »
Je pris sur moi pour réprimer un « espèce de vieille bique ! » et décidai sagement de me concentrer sur le spectacle en attendant l’entracte.
On jouait « La Juive », un opéra tragique usant de tous les ingrédients indispensables : amour impossible, trahison, différence de religions, sacrifice…
Soudain l’héroïne, Rachel, se mit à se tordre de douleur et pousser des contre-uts qui me donnèrent la chair de poulette. Je me pris à repenser à la pauvre Cornélie Falcon que j’avais rencontré un peu plus tôt dans l’après-midi (Lire Le fantôme de l’Opéra, acte II) et qui avait rompu sa voix et sa carrière précisément à cet acte. Je tremblais donc malgré moi, redoutant que cette voix à la fois si puissante et si fragile ne se cassa nette. Elle se brisa nette, mais d’un effet voulu puisque le rideau tomba aussitôt, suivit d’un tonnerre d’applaudissements. Allons, bon, je m’étais mise à chialer d’émotion… Je priai pour que mon mascara n’en profitât pas pour aller dire bonjour à mon fond de teint…
Brusquement, une vision m’arracha à ces considérations girly superficielles pour me plonger dans des considérations girly profondes : je vis mon « presque Brad Pitt » traverser la scène.
Où allait-il ? Ignorant les présentations d’usage de mes colloc’ de loges, je me levai d’un bond et me précipitai sur la scène. Je me retrouvai comme de bien entendu dans les backstages pour constater avec stupéfaction que ces messieurs se bousculaient dans le foyer de la danse. Contrairement à tout à l’heure (lire Le fantôme de l’Opéra, acte I), je n’étais plus fascinée par les dorures de la salle, quoique… mais certainement plus par l’étrange spectacle qui s’y déroulait. Je vis mes Sorel, Duroy & co en conversation galante avec les artistes féminines de l’Opéra, ce qui n’eut pas l’heur de me plaire.
Je m’engageai dans la salle d’un pas décidé, mais je fus arrêtée par un :
« Madame, vous me voyez fort contrit de devoir vous interdire l’entrée de cette salle.
– Vous êtes qui, vous ? dis-je agacée à l’homme assis derrière un petit bureau.
– Je suis l’huissier en charge de tenir le registre des entrées dans le foyer de la danse.
– Ah, ben vas-y marque : Ariane
– Je crains que le public féminin ne soit pas autorisée à… »
Je n’écoutai pas la réponse et m’engouffrai dans l’antre interdit.
Mon entrée fut d’autant plus remarquée qu’elle était accompagnée par les aboiements de l’huissier. Tous les regards convergèrent vers moi. Déconcertée par cette atmosphère pesante et surtout par le regard pénétrant de « mon presque Brad Pitt », je m’arrêtai, indécise. Ce clébard d’huissier en profita pour me ramener au seuil de la porte. Et de m’expliquer que je me trouverais bien plus à mon aise dans le grand foyer situé à l’étage, où se pressait le Tout Paris et où : « il serait dommage qu’une demoiselle comme vous le priva de sa si grande beauté ! ». Maitre clébard dû sentir avec raison que je n’allais pas lâcher le fromage si facilement. Il jugea donc plus prudent de m’accompagner dans ledit grand foyer.
Le grand escalier nous déversa au premier étage devant 3 portes monumentales qui s’ouvraient sur une salle encore plus monumentale.
« Mais, c’est Versailles ici ! » m’écriai-je, hallucinée ! En effet, on se serait cru dans la galerie des glaces de Louis XIV. Un groupe d’hommes se retourna l’air moqueur, l’un d’eux me dit :
« Comme vous dites, Madame, c’est Versailles à Paris : voici Monsieur de Clermont Tonnerre, Monsieur de la Trémoille, moi-même… »
Je compris qu’on était en train de se foutre de ma gueule façon 19ème siècle. Je pris un air pincé de reine douairière :
« Pas tout Versailles, Monsieur, car je ne vois là que des sujets et point de Roi ! »
Puis, la tête haute, je me jetai au milieu de ce grand « foyer ».
Je trouve que ce mot prête à confusion car, pour ma part, « foyer » me renvoie plus à l’image de la salle déglingué de mon lycée qu’à cet endroit de ouf’… Apparemment ce nom aurait à voir avec les deux magnifiques cheminée qui orne la galerie.
Imaginez-vous une galerie où 9 personnes peuvent marcher de front sur une longueur de 58 mètres et sous une hauteur de plafond de 18 mètres.
Ajoutez–y un max de candélabres, de lustres, de colonnes, de peintures, de statues… Puis, afin de faire briller tout cet or et de démultiplier l’éclat à l’infini : balancez 5 miroirs de 6 mètres de haut en face de 5 immenses portes fenêtres qui auront le bon gout de donner sur le Louvre…
Voilà ce qu’ils appellent un foyer, voilà ce que j’appelle le luxe et voilà que j’ai envie de crier :
« Vive la France ! ».
Un curieux manège attira bientôt mon attention : des jeunes filles au bras de dames plus âgées effectuaient timidement le tour de ce grand foyer. Quelques Messieurs leur jetaient des œillades.
« Ce sont de jeunes pouliches à marier, et que leur mères exhibent en espérant attirer un étalon titré ».
Je me retournai vivement pour voir l’auteur de cette déclaration dont le ton était fort à mon gout. Je manquais de défaillir :
mon « presque Brad Pitt » se trouvait-là !
« Monsieur de Rothschild, ajouta-t-il dans une révérence, et vous êtes, Madame… ?
Deuxième coup de massue : un Rothschild ??? Je blanchis, je rougis… enfin je me ressaisis :
– Pas Madame, je suis Mademoiselle !
– Alors vous devriez rejoindre la file de ces jeunes filles, me dit-il avec malice.
– Mais Monsieur, comme vous le voyez, je n’ai point de mère… Puis, tentant le tout pour le tout, j’ajoutai : quant à l’étalon titré, il me semble déjà là ! »
Mon « Brad Pitt de Rothschild » éclata de rire, découvrant ses belles dents larges et blanches.
Je savourais ma victoire, car comme chacun sait « homme qui se marre, homme au plumard», quand soudain une voix cristalline m’interpella :
« Ah vous voilà enfin, Madame, je vais ai apporté une coupe de champagne comme promis.
Ma joie s’envola d’un coup.
– Il ne fallait pas vous donner cette peine » articulai-je amèrement.
Décidément ma belle Orphée me collait au basque : d’abord l’escalier, ensuite la loge et maintenant le grand foyer… Enfin tant qu’elle collait seulement aux miennes…
Elle me tendit le verre d’un geste élégant puis tourna son cou de cygne vers mon étalon. Celui-ci nous considéra toutes deux. J’eus envie de pleurer en repensant à la pauvre fille assise dans la loge à coté d’elle : je devais maintenant avoir l’air d’une morue à côté d’une sirène.
Quant à elle, fort à son aise, elle lui dit :
« Voyez-vous, Monsieur, je n’ai pas comme vous le bonheur de connaître Madame, nos seuls liens se résument à sa chute que j’ai provoquée dans l’escalier »
Allez v’lan, rajoute-en une couche grognasse ! me dis-je en moi-même.
Je ne sais pas s’il paraissait plus surpris par ce propos, que par son auteur. Comprenant que le match était perdu d’avance, je vidais ma flute cul sec et dis:
« Je partage votre surprise Monsieur de Rothschild, vous vous demandez comment un pur sang a pu renverser un percheron ! ».
Mon auto-flagellation passa inaperçue tant le Sieur était fasciné par les grands yeux de velours noir et la petite bouche mutine du pur sang en question.
J’eu soudain envie d’une autre coupe de champ’… que j’attrapai au vol sur un plateau passant à ma hauteur. Un cul sec et un rot étouffé plus tard, je me sentais ragaillardie… et puis non, je me sentais plutôt comme Jennifer Aniston apprenant qu’elle était cocue avec la Angelina Jolie. Je repris donc un pt’it verre, puis un autre, puis un autre, puis…plus rien.
Quand je repris conscience, j’étais dehors, penchée sur les marches de l’Opéra. Charles (Garnier) me tenait le chapeau et les cheveux pendant que des hoquets peu gracieux me secouaient, présageant d’une issue qui l’était encore moins.
Pas classe, vraiment pas classe… quoique… vomir du champagne au pied du groupe de la danse de Carpeau, en faux cul et corset, le tout en compagnie de Charles Garnier, j’ai connu pire… pas vous ?
– Fin de l’Acte V et Fin du Fantôme de l’Opéra –
Comme énoncé à l’Acte I, ce long spectacle avait pour but de m’entraîner à mon premier roman. Alors voilà, il est temps de vous poser la question fatidico-flippante : Suis-je prête à écrire un roman ?
Infos Pratiques
Pour visiter l’Opéra Garnier :
Adresse : Angle rues Scribe et Auber -75009 Paris
Horaires : De 10h à 17h
Tarif : 10€ – Tarif réduit : 6€
Tel : 0 892 89 90 90
Site web : http://visitepalaisgarnier.fr/
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A la question je réponds sans hésitation que OUI ! c’est du grand art ! je suis, grâce à vous, réconcilié avec l’histoire et la lecture d’un même élan. Je me suis même hasardé à rédiger une annonce sur leboncoin avec humour et recherche comme je l’apprécie ici. Votre talent n’a d’égal que votre beauté. Continuez comme ça et vous rendrez le monde meilleur.
Cordialement
OUI, REOUI ! vous êtes prête, je suis déjà dans l’attente de ce roman . Vous allez renouveler le roman historique en lui apportant fantaisie et humour .
Quand au dernier épisode du « fantôme de l’opéra », c’était un délice!
Le roman semble un exercice difficile de prime à bord car il mêle créativité, pirouettes d’écriture et construction tant dans l’évolution de l’histoire que dans les caractères des personnes. Ceci n’est que mon humble avis de lectrice de la première heure : si ces aspects sont les critères d’appréciation pour décider si vous pouvez écrire un roman, dans ce cas, je crois sincèrement chère Ariane que vous en avez signé plus d’un à chaque histoire que vous nous avez contée. Ne doutant pas de votre succès à venir, je me permets d’ores et déjà de réserver une première édition.
Sincèrement, une Amie fidèle.
Bonjour et merci de ce moment de lecture. Oui je pense qu’un roman est vraiment à la portée de votre plume. Je me permet une critique dans ce que je viens de lire. Je me régale de vous lire et j’ai envie de partager. Les personnages rencontrés pourraient avoir leurs moments, leurs chapitres, développer l’intrigue, le délire avec leurs regards, leurs implications, leurs rencontres et mieux revenir vers vous.
En tout cas je vous découvre et c’est délicieux. Bonne journée.
Oui et non, vos références sont bien trop pêle-mêle, un roman est quelque chose de bien autre, plus de soi,,,,,
les références si il y en a, elles doivent être ou naturelles ou ciblées, mais surtout pas en désordre comme là elles m’apparaissent!! etc etc