Ripailles chez François Ier/n°2

Extrait de ma nouvelle pour " Putain d'Amour "

Actu -  20 mars 2014

Ce soir c’est méga-banquet à Chambord ! (Lire Ripailles chez François Ier / n°1 ). Et quand François Ier reçoit ça donne :  

Des invités triés sur le volet, comme Rabelais, Marguerite de Valois, Montmorency… et moi-même ! Une Ambiance égrillarde à souhait !

Allez hop, c’est parti suivez-moi !

Gravure de Chambord

Gravure de Chambord

Rabelais est en pleine démonstration de grivoiserie et nous raconte comment une noble dame, drapée dans ses valeurs d’honneur et de vertu, a fini par se retrouver drapée dans ses bras velus « babujalant comme une mule la croupe en l’air ». (Lire Ripailles chez François Ier / n°1 )

François rit à pleine gorge :

« Et moi ça me rappelle cette jeune et belle créature de haute naissance qui, à peine arrivée à la cour, se trouva aussitôt en mon lit et prit mon « royal étendard » qu’elle planta en son « fort » avec grande humilité. Soudainement, elle me demanda comment je voulais qu’elle me servit. Je restais coi car bien surpris, alors elle me demanda si je préférais qu’elle me servit en femme bien chaste ou en grande débauchée. Je n’eus point le temps de répondre qu’elle me précisa qu’on lui trouvait plus d’agrément en cette dernière qu’en la modeste. Elle se mit à frotter et à remuer du cul en tous sens ; si bien qu’il y avait longtemps que je n’avais été servi de la sorte ! Se faisant elle me dit milles mignardises, jusqu’à ce qu’elle soulève son trou velu et m’avertisse dans un cri « je coule, je coule ! ». Nous coulâmes de concert dans un excès de débauche dont je suis encore tout esbaudi. »

Montmorency, qui comme moi n’avait pas perdu une « goutte » de la scène, dit galamment :

– Sire, nous comprenons fort bien cette jeune demoiselle ! Aurait-elle voulu faire la modeste qu’elle n’y aurait point réussi devant la royale beauté de votre Majesté et l’incomparable vigueur de sa longue braguette !

François rétorque joyeusement:

– Plaise donc à Dieu que cela fut vrai ! Mais, foi de gentilhomme, il n’en est point et je le sais ; la coquine, une fois son affaire terminée, me recommanda dans une grande révérence quelque avancement pour son mari. Voilà pourquoi on baise le Roy cher amy ! »

Natalie Dormer, Game of Throne

Natalie Dormer, Game of Throne

Puis il glissa un regard entendu à sa maitresse Anne d’Étampes assise près de lui. Elle semble, contrairement à nous, moyennement apprécier le tour que prend cette conversation.

Voyant cela, Rabelais y met un terme avec finesse en concluant par des vers qui en sont quelques peu dépourvus :

« Si ici mes joyeux compagnons,

Nous avons posé notre cul,

C’est pour banqueter en l’honneur de Bacchus

Et même si nous y perdons râble et croupions,

C’est bien de boire,

Sec et sans histoire. »

Un grand rire général s’en suit, puis tous les convives, dont moi la première, vidons notre verre cul sec dans un joyeux tumulte.
La maitresse en titre me regarde de travers, et ce depuis mon arrivée.

Anne d’Etampes, née Pisseleu, est devenue depuis peu (à mon grand désarroi) la favorite de François Ier. Rien ne me revient chez elle, ni sa blondeur fadasse de navet bouilli, ni sa fausseté de vipère planquée derrière des sourires mielleux.

Ayant tout d’abord opté pour la bienséance, je n’ai pas relevé ses regards torves mais à mesure que les verres s’enchainent, mon agacement se déchaine. Tout à coup j’éclate :

« Dis-donc la Pisse-drue, c’est parce que t’as peur que je me tape ton mec que tu me lorgnes comme ça ?

François & Moi - Illustration Clément Dezelus (http://www.clement-dezelus.com/)

François & Moi – Illustration Clément Dezelus (http://www.clement-dezelus.com/)

 

La belle est interloquée et fait mine de ne pas entendre, je continue de plus belle :

« Non parce que si c’est ça, je préfère crever l’abcès : je me tape qui je veux moi, Madame, François comme les autres, ok ?»

Je suis moi-même surprise de l’irrévérence de mon propos et je comprends à cet instant que j’ai un sérieux coup dans l’aile !
Anne ouvre la bouche et je comprends aussi à cet instant que ça peut partir en vrille.
Heureusement, mon cher Montmorency coupe adroitement Anne dans son élan :

« Allons, allons, Mesdames, je vous sais trop lettrées et raffinées pour ne pas avoir fait vôtres les préceptes d’Erasme qui nous rappellent que la gaîté est de mise à table, et qu’il faut chasser de son esprit toute idée chagrine car dans un repas, il ne faut paraître triste ni attrister personne. »

Mouais… en ce qui me concerne c’est plutôt du Montaigne qui me vient à l’esprit et que j’ai envie de balancer à cette grognasse : « Sur le plus beau trône du monde, on n’est jamais assis que sur son cul ! »

Je n’en fais rien, non par égard à la vilaine, mais par égard à mon petit Montaigne : ce dernier n’étant pas encore né, je m’en voudrais de lui voler la paternité d’une aussi belle citation.

François 1er faisant visiter sa galerie,  Isidore Patrois

François 1er faisant visiter sa galerie, Isidore Patrois

Quelques hommes et femmes se lèvent pour danser, j’ai bien envie de les suivre mais deux choses me retiennent à table : la musique et mon ébriété. Les chantres, fifres, hautbois, saqueboutes et luthistes font un bruit de crécelle sur lesquels quatre bonhommes poussent la chansonnette. La playlist n’est donc pas vraiment à mon goût (je lui aurais certes préféré un bon Rihanna), mais là est mon moindre mal…

Ce qui me retient surtout c’est la peur de danser (bien éméchée je suis capable de danser sur n’importe quoi !). J’ai en effet peur d’opposer à leur danse savante un coupé-décalé non moins savant, qui leur paraitrait encore plus abjecte qu’une bourrée charentaise. Je me ravise donc à contrecœur, d’autant que mon François est déjà en train d’exécuter d’admirables entrechats.

 

Marguerite d'Angoulême, Clouet

Marguerite d’Angoulême, Clouet

Je cherche un lot de consolation que je trouve en la personne de Marguerite de Valois, la sœur de François. Cette dernière est assise à l’autre bout de la table, pas grave… Je me lève lourdement : quelques titubements et un verre cassé plus tard, je me retrouve à ses côtés.

« Que me vaut le bonheur de votre voisinage, belle amie ? Me demande-elle avec sa fraicheur habituelle. Ma fraicheur ayant foutue le camp depuis quelques temps, je rétorque laconiquement :

– L’Amour !

– Hélas, mon cher frère serait mieux à même de vous entretenir de pareil sujet !

– Ah ben t’inquiètes, c’est déjà fait ! dis-je dans un rire gras. Non, moi ce que je veux c’est l’avis d’une femme !

– Et bien mon amie, dans ce cas il vous faut interroger ses amours…

– Tu rigoles ? Faudrait que je me coltine toutes les femmes de France et de Navarre.

– Laissez-moi vous détrompez ma chère, il ne les a point toutes eu. Je me rappelle de la petite Volland qui avait fort plu à mon frère. Le sachant de conduite irrégulière et voulant protéger sa vertu, elle se brula le visage au-dessus d’un réchaud de soufre…

– Ben dis donc ! » lançais-je après un long sifflement…

J‘aimerais dire quelque chose de plus intelligent mais rien ne me vient… Ah si :

– Si la Pisseleu pouvait en faire autant !

Je développe mon idée :

– Je ne comprends toujours pas pourquoi ton frère, à bientôt 35 balais, a plaqué sa brune et piquante Françoise de Foix, qui a pratiquement le même âge que lui, pour cette espèce de drôlesse en couche-culotte.

– J’espère que Clément Marot ne me tiendra pas rigueur de citer ses rimes à propos de Melle D’Etampes, mais là réside peut-être la clé du mystère :

« Dix et huit ans je vous donne
Belle et bonne
Mais à votre sens rassi,
Trente-cinq ou trente six
J’en ordonne. »

Il me faut quelques instants pour percuter, puis j’éclate de rire, je croix comprendre que le poème traite Anne de catin : j’adore !

« Redis-moi ces vers que je les apprenne par cœur ! dis-je enthousiaste. Surtout le coup du « tu te crois bonne mais t’es rassie ».
Et d’ici la fin de la soirée, je vais aller les déclamer à la personne concernée, me dis-je en moi-même.

Françoise de Foix et Anne d'Etampes, Extrait "Deux soeurs pour un roi"

Françoise de Foix et Anne d’Etampes, Extrait « Deux soeurs pour un roi »

Marguerite lit certainement dans mes pensées, car elle ignore sagement la sollicitation pour se recentrer sur ma quête initiale :

« Il n’est point aisé pour une femme de parler d’amour, rarement elle le ressent et jamais elle ne peut le dire.

– Pourquoi ? Je deviens décidemment de plus en plus laconique.

– Parce que cela n’est pas convenable pour une femme de dire son amour pour un homme.

– Ah ?

Je deviens vraiment très laconique… et pour cause : je n’écoute plus. J’ai les dents du fond qui baignent et les étiquettes qui chauffent.
Est-ce d’avoir trop parlé d’Amour que je me sens tout à coup d’humeur badine ? Trèves de théorie, l’envie me prend de passer à la pratique ! Je braille en me retournant :

« Anne, Anne ! »

La bécasse de François me regarde, très surprise. Peut-être croit-elle que je souhaite reprendre les hostilités.

« Mais nan, pas toi …. l’autre ! » dis-je agacée.

L’autre, c’est évidemment mon joli Montmorency, qui n’a de féminin que le prénom, ce que je me propose d’aller vérifier séance tenante.

« Anne ! Anne ! »

J’appelle, je cherche, je peste, j’insiste, je titube, je tombe, je m’endors….

 

Notes

Les dialogues de François Ier sont imaginés sur la base de ses propres propos rapportés par Brantôme (écrivain du XVIème siècle).

Les dialogues de François Rabelais sont imaginés sur la base de ses propres propos mais ces derniers étant assez faibles, ils ont été « étoffés » par ceux qu’il a écrit dans son œuvre           « Pantagruel ».

Merci à mon ami Clément Dezelus pour sa super illustration de François&Moi

 

Histoire Très Personnelle vous remercie pour ces 2 commentaires :

  1. J’adore tout simplement vos posts et vos recherches !!! Merci pr vos partes si beaux et intéressants !!
    Doreen

  2. La nourriture de l’époque, c’était pas du chiqué industriel pré-mâché, adouci, attiédi, etc. Bref des mets forts, pour des rencontres savoureuses.

Mes chers amis, vous avez la parole :

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Ici, pas de longs discours académiques,
Pas de dissection scientifique de l’Histoire,
Pas d’écartèlement de grands hommes entre des dates.

Ici, je vous propose de prendre une porte dérobée de l’Histoire, celle prévue pour les intimes. Tous mes amis vous y attendent. Venez donc prendre un café avec Monsieur de Sade, heu… non pas lui, on va attendre de mieux se connaitre ! Allons plutôt chez Diderot, il est super cool. Ensuite nous irons explorer des châteaux, et chemin faisant, je vous raconterai plein de petites histoires sympathiques…

Je vous propose que l’on s’amuse à créer des thématiques pour donner un alibi à nos promenades intempestives dans les siècles, et des raisons à nos conversations badines.
Vous avez une idée ? Hum… Je vous sens quelque peu timides. Allez hop, je donne le ton : ce sera Le libertinage ! A moins que vous ne préfériez Tortures et Châtiments ? De toute façon,  il y en a pour tous les goûts…

Moi, votre guide ? Mais non, voyons ! Votre meilleure amie historique, celle qui vous prend par le bras et vous chuchote les potins, les scandales et dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas…

Allez hop, c’est parti, suivez-moi !

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Aux grands artistes   Histoire Très Personnelle reconnaissante

Si vous émettez des gloussements de rire lors de la lecture d’Histoire Très Personnelle,
Si vous admirez au moins une personne née avant 1900,
Si la folie de votre imagination n’a d’égale que celle de votre passion,
Si cette passion est la photo, le dessin, le costume, le maquillage, la coiffure, etc.,
Et surtout de faire des choses aussi déjantées que belles…

Qu’attendez-vous pour contacter Histoire Très Personnelle ?
Votre place au Panthéon vous attend !

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Dame Ariane
15ème Siècle
Mademoiselle
de Riri
18ème Siècle

Qui suis-je ?

Je m’appelle Ariane.
Non, pas comme la fusée ! Rhooo… Comme la princesse de la mythologie grecque : ma sœur c’est Phèdre et mon frangin c’est le Minotaure. Quant à mon mari, il s’appelle Bacchus…
Oui je sais, que des cinglés, ce qui expliquerait peut-être mon grain de folie ?

Que fais-je dans la vie ?

Être (enfin) en accord avec moi-même, ce que je ne saurais mieux vous conseiller ; c’est-à-dire vivre de mes passions, prendre du plaisir et surtout, être moi-même.
Non, ce n’est pas un discours idéaliste d’ado attardée, au contraire ! Ça m’a pris 30 ans pour le comprendre,  et surtout, pour oser le faire…
J’ai travaillé de nombreuses années dans la mode en faisant des choses qui m’ont parfois déplu, et j’ai même monté ma propre marque haut de gamme pour femme.
Dans ce magazine, j’ai décidé de réunir toutes mes passions, ce qui donne pêle-mêle : l’Histoire, l’écriture, la direction artistique (et même, je l’avoue, un soupçon de mode, pas pu m’en empêcher !).
La seule passion manquante à l’appel ici est le cinéma, mais ça viendra, je vous en réserve la surprise…

Alors certes, je ne gagne presque pas un rond mais n’empêche, vivre ses passions, qu’est-ce que c’est bon… Une vraie vie de luxe que je souhaite à tout milliardaire !

Pourquoi j’écris ce magazine ?

Franchement, vous en connaissez beaucoup parmi vos amis qui, comme moi, vont se rincer une dent avec le prince de Talleyrand (qu’est-ce qu’il picole celui-là !), coller des baffes à Robespierre ou encore faire la fête avec Marie-Antoinette ?
Non ? Alors, vous voyez, il faut bien que je vous raconte !

Moi au Moyen-Age

Ah, c’est vous mes amis ? Ouf, j’ai eu peur que ce soit quelqu’un d’ici qui m’ait pris en flag !

Je vous explique :

Comme vous le savez, je voyage dans les siècles à la rencontre de mes amis. J’étais donc partie me promener au 15ème siècle pour aller rendre visite à deux copines :  Agnès (Sorel) et Jeanne (d’Arc). Seulement voilà, cette gourgandine d’Agnès est occupée à forniquer avec son Carlito (Charles VII) . Quant à Jeanne, elle est plus ou moins devenue schizo depuis qu’elle entend des voix (ne le dites à personne, surtout pas aux Anglais, mais elle manigance pour prendre la tête d’une armée, n’importe quoi !).

Bref, tout le monde est très occupé et je m’ennuyais. Comme ce ne sont pas les activités fun qui pullulent à cette période de l’Histoire, je suis donc allée faire un tour à l’église, histoire de faire bonne figure et surtout bonne lecture.
Seulement je n’aime pas trop la Bible, il n’y a pas pire pour filer des maux de crâne (et ici pas la peine de chercher d’aspirine, vous ne trouverez que des hosties). Du coup, je remplace le livre Saint par le Saint des livres : le kamasutra. C’est l’accessoire indispensable quand on voyage au Moyen Age, je l’emporte toujours avec moi.

Mais chut ! Ne le dites à personne car je n’ai pas envie de me faire griller (au sens propre du terme !).

Bon, maintenant que vous êtes là, ça vous dit d’aller faire un tour chez ma meilleure amie, Marie-Antoinette ?

Moi au 18ème siècle

Votre voyage depuis le Moyen Age s’est bien passé ?
Moi, je viens de prendre 3 siècles et j’en ai les cheveux qui ont blanchi !

Nous voici chez Marie-Antoinette, mon illustre amie.
Elle adore organiser des sauteries dans son hameau. C’est Loulou qui lui a fait construire ce petit endroit.
Il est certes hyper sympa, mais ça a coûté les yeux de la tête, paraît-il… D’ailleurs pas plus tard qu’hier je lui disais : « Toinette, tu fais ta coquette en jouant à la paysanne avec tes moutons à 3000 dollars, mais ça en énerve plus d’un, tu sais ! Un jour ça tournera mal…».

Enfin bref, aujourd’hui on y joue une pièce de théâtre, veuillez donc excuser ma tenue champêtre quelque peu décontractée. Je me suis habillée à la hâte ce matin, en à peine une heure et demie, c’est vous dire…

Ça vous dérange si je boulotte un cupcake ? J’en ai piqués à la laiterie tout à l’heure, il parait que c’est Lafayette qui a ramené cette curiosité des Etats-Unis, j’en suis folle ! (de l’un comme de l’autre).
Chut, parlons moins fort ! Toinette est en train de jouer sa pièce de théâtre. Cachez-vous donc derrière mon éventail et continuons notre causerie à voix basse.
Entre nous, vous ne trouvez pas que son jeu d’actrice est pitoyable ? C’est comme cette duchesse de Polignac qui…
Comment ça, je critique ? Mais évidemment, voyons ! Manger et médire sont les plus savoureux passe-temps de ce siècle.

Allez, mes amis, je cesse de vous ballotter entre les siècles, cette fois c’est moi qui viens à vous…

Moi au 21ème siècle

Salut les amis, on se fait la bise ?
Ah… de retour au 21ème siècle, ça fait du bien !
Veste, legging et chewing-gum, c’est à ça que l’on sait qu’on est revenu à la maison.

Bon, on se fait la photo finale ? Afin que vous sachiez enfin à quoi je ressemble telle que Dieu m’a faite (et aussi la mode printemps-été, j’avoue !)
Meeeer… juste au moment où je faisais ma bulle de chewing-gum ! C’est fou cette faculté naturelle que j’ai de me faire prendre en flagrant délit de mauvaise conduite… Mais bon, autant vous y habituer dès à présent, parce que ce n’est pas prêt de changer ! ( Maman si tu me lis : désolée…)

Maintenant que la glace est définitivement rompue entre nous, on va pouvoir se balader en toute liberté et en toute intimité dans les différents siècles !

L’Histoire, c’est Mon Histoire…

Allez hop, c’est parti, suivez-moi !

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Vous trouverez ici tous les futurs plans de vol : nos prochaines destinations (les articles à venir), et les nouveaux grands voyages dans l’Histoire (les nouveaux thèmes).
Nous décollons pour une nouvelle destination (nouvel article) chaque début de semaine, quant aux nouveaux grands voyages, c’est selon l’humeur du pilote.

Embarquement imminent !

Nouveau Grand Voyage : L’Amour

Prochaines Destinations

Lieux :
Dans le thème « Tortures et Châtiments » : Cartouche, un homme explosif

Lieux :
Dans le nouveau thème de « L’Amour » : Château de Maisons-Laffitte (A Monsieur le Marquis)

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