Domaine de Villarceaux

A Ninon de Lenclos

Lieux -  18 mai 2013

Des jardins à l’italienne, tels de petits soupirants, se pressent au pied d’une belle demeure renaissance alanguie. Plus loin, un immense lac étend son miroir mouvant dans lequel se mire un superbe château rocaille. Séduisant gentilhomme de pierre,  il converse galamment avec les grandes forêts du Vexin qui lui font face. Au loin, des collines élèvent leur gazon verdoyant vers le ciel et semblent vouloir faire l’amour aux nuages.

A quelques kilomètres de Paris, si la nature se fait si libertine, c’est sûrement en hommage aux deux illustres libertins de ce Grand Siècle qu’elle a accueillie.

En effet, au 17ème siècle, le marquis de Villarceaux fit de son domaine un paradis de luxure où Eve, dit Ninon de Lenclos, s’y fit allègrement manger la pomme…
Une petite promenade champêtre au cœur du libertinage mondain, ça vous dit ?

 Allez hop, c’est parti, suivez-moi !

Domaine de Villarceaux, Château Renaissance

Domaine de Villarceaux, Château Renaissance

Ninon de Lenclos… Combien d’hommes n’ont pas soupiré d’amour en prononçant ce nom ?

Nous sommes en 1652, Anne, dit Ninon, a 32 ans. Elle est au zénith de sa beauté et le restera jusqu’à sa mort, en 1705.
Les lumières de sa splendeur en éblouissent plus d’un à la cour du Roi Soleil.
Déjà toute jeune fille, Scudéry (célèbre romancier et dramaturge du 17ème siècle) disait d’elle :
« J’ai connu cet astre naissant
au point de sa clarté première,
et s’il était déjà puissant,
quelle doit être sa lumière !»

Effectivement, quelle lumière ! Et comment cela se fesse, heu… pardon, fait-ce ?

Ninon de Lenclos

Ninon de Lenclos

Sûrement parce que cette originale aristocrate a fière allure : c’est une grande et belle brune, d’une élégance rare et aux charmes indéniables.

D’accord, mais rien de très nouveau sous le soleil de la cour du Roi Soleil, me direz-vous…
Exact ! Alors venons-en au fait :
Et bien voilà, dans un siècle où la bonne morale veut que les « honnêtes femmes » restent à la maison sans moufter, avec une ceinture de chasteté pour compagne, Ninon, elle, s’affiche comme chaude du con.
Dès l’âge de 16 ans, elle découvre les joies de la galipette.

Avec son mari, dites-vous ?
Ah, non ! Sinon elle aurait découvert le viol… Souvenez-vous, mes chers, nous ne sommes qu’au 17ème siècle.

 

Pour ce faire, voyez-vous, elle commence fort, car c’est avec un cardinal qu’elle s’envoie en l’air ; et pas des moindres : le cardinal de Richelieu, s’il vous plait.
A partir de là et jusqu’à ses 80 balais, tout lui passera dessus sauf un abruti de mari, foi de Ninon !
Couillue la belle Dame ? Vous ne croyez pas si bien dire, celle qui se moque de Dieu comme de sa première levrette, lui adresse cependant une prière :
« Mon Dieu, faites de moi un honnête homme et n’en faites jamais une honnête femme ».

Et quand une femme prend les vertus d’un honnête homme, à commencer par celle de la séduction, elle devient une virtuose de l’amour : l’échauffement de l’esprit est un prélude à celui des sens.
Ce qui fera dire au comte de Chavagnac : « Quand un courtisan avait un fils à dégourdir, il l’envoyait à son école. L’éducation qu’elle donnait était si excellente, qu’on faisait bien la différence des jeunes gens qu’elle avait dressés. Elle leur apprenait la manière jolie de faire l’amour… »

Salon, Château XVIII, Domaine de Villarceaux

Salon, Château XVIII, Domaine de Villarceaux

D’une intelligence admirable, drôle, et aussi ouverte d’esprit qu’elle l’est du reste, Ninon tient salon. Les gens de haute qualité, hommes et femmes s’y pressent. On y trouve La Fontaine, Lully, Boileau, Mignard, Racine, le couple Scarron (dont la femme, sa grande amie, deviendra Mme de Maintenon), Molière, (qui lui demande de relire et corriger ses pièces), etc.

 

Même le grand Louis XIV, qui, à défaut d’être de la partie, ne peut s’empêcher de demander depuis Versailles : « Qu’a dit Ninon ? ».

Comme vous le voyez, la célèbre Lenclos fait la pluie et le beau temps depuis son célèbre Enclos.
Mais si Ninon devise, Ninon divise, et si Ninon électrise, Ninon scandalise, mais surtout : Ninon brise…
Brise quoi ? Des cœurs pardi ! Les élus ont beau être nombreux, les soupirants le sont encore plus. C’est sa stratégie perso : pas question de faire la cocotte vulgaire en s’offrant à des vieux dégueulasses pleins de biftons. Courtisane oui, mais selon ses « caprices » comme elle dit. Alors pour atterrir dans le lit de Ninon, il faut… attendre. Et parfois, il y a un heureux élu, plutôt jeune, plutôt beau, comme ce jour où Charleval, son ami,  la trouvant en compagnie du jeune Rambouillet, lui glisse à l’oreille : « Ma chère, voilà qui a bien la mine d’être un de vos caprices !».

Il n’en fallait pas plus pour que ce coquin de marquis de Villarceaux vienne fourrer son joli nez dans les jupons de la belle. Ce jeune chien fou de 33 ans, épris de chasse et de belles femmes, veut absolument épingler à son tableau le trophée De Lenclos ; d’autant qu’il croit Ninon de conquête facile…
Il se rend donc la fleur au fusil dans l’Enclos de la belle et s’y trouve… chassé ! (Pas cool pour un chasseur).
N’allez pas croire qu’elle resta de marbre devant ce jeune et riche débauché. Bien au contraire, comme dit Emile Magne (historien du début du 20ème siècle) : « Elle aime. Un sentiment forcené la soulève, si étrange et si délicieux, qu’il lui semble qu’on lui a versé un philtre…».

Entrée côté jardins, Château XVIII, Domaine de Villarceaux

Entrée côté jardins, Château XVIII, Domaine de Villarceaux

Seulement, là où les autres femmes vertueuses tombaient au pied du beau jeune homme dans un soupir amoureux, comme ce fut le cas de la maréchale de la Ferté et de bien d’autres, Ninon, en femme d’expérience,  se contente de dire « ni oui, Ni Non » (hihi !). Elle laisse poireauter là notre homme, sans autre forme de civilité (re-hihi !).

Le marquis, peu coutumier de la chose, renâcle, s’énerve, paye, presse… Ce beau parleur aux manières cavalières, capable de balancer dans tout Paris les lettres, portraits, bracelets et autres preuves d’amour de ses conquêtes pour la simple raison qu’elles ont cessé de lui plaire, se retrouve pour la première fois… la queue entre les jambes.

Quelle ne fut pas sa surprise de se lever un beau matin complètement enamouré de sa Ninon.
Le libertin gouailleur avait fait place à un pauvre amoureux transi (bien fait !).
Le belle, en grande experte, voit bien que le fruit est mûr, mais décide de ne pas le cueillir encore…
Ne pouvant plus y tenir, fou de jalousie, notre beau marquis use de nouveau de ses manières cavalières mais dans un but, cette fois, chevaleresque : il enlève Ninon !

Château fort et Château Renaissance, Domaine de Villarceaux

Château fort et Château Renaissance, Domaine de Villarceaux

Non seulement il l’enlève, mais il l’emmène loin de Paris, dans son domaine de Villarceaux.
Ce qui entre nous n’est pas fait pour déplaire à Ninon, car elle a quelques scandales d’ordre sexuels à faire oublier.
Là, commence une idylle des plus passionnées. Même Ninon en connaîtra peu de pareil dans toute sa carrière de jambes en l’air, qui ne durera pas moins de 65 ans.

Les deux amants filent un parfait amour pendant 3 ans, ce qui est un comble pour celle qui avait l’habitude de lancer à ses amoureux : « Je crois que je t’aimerai trois mois, c’est l’infini pour moi ».

Ils s’aiment à n’en plus finir dans les cabinets de verdures dont recèle le parc (il en naîtra même un fils). Est-ce la nature qui les inspire ou l’inverse ? En tout cas, les frondaisons des arbres, tout comme les vieilles pierres du château renaissance auraient bien des choses croustillantes à nous raconter !
Quand elle ne se baigne pas nue dans les bassins des jardins, Ninon occupe de jolis appartements dans une des tours du château, l’autre étant réservée au marquis qui en a fait son atelier de peinture (Monsieur n’a pas qu’un joli coup de reins, il a aussi un joli coup de pinceau).

Françoise d'Aubigné peint par Louis de Mornay, marquis de Villarceaux

Françoise d’Aubigné peint par Louis de Mornay, marquis de Villarceaux

Les appartements de la belle, certes petits, se révèlent fort agréables grâce à leur joli décor, et surtout fort commodes : des boiseries mobiles, dans une des pièces, servaient à planquer un minuscule endroit où pouvait se tenir une personne. Cachette bien utile si Denise, la femme du marquis, avait le mauvais goût de se pointer à l’improviste.

Ah, avais-je oublié de vous mentionner qu’il était marié, l’animal ? C’est parce que cela reste un simple détail pour ce renard rusé, pas besoin d’en faire tout un fromage… Laissons donc à Maître Denise la peine de donner de la voix.

Lorsque Louis de Mornay, de son petit nom, est appelé à Paris pour remplir ses hautes fonctions (capitaine de la meute des chiens de chasse de Louis XIV), Ninon a la délicatesse de se retirer dans un château voisin, chez Charles de Villiquierville, un ami du marquis.

 

 

Mais n’allez pas croire qu’elle s’y morfondait d’ennui, en soupirant devant les heures passées sans son cher Loulou. Ce serait mal connaitre Ninon et encore moins le Charlie.

Ce dernier est en effet un fieffé original, qui en plus d’être frondeur et opposant à tous les régimes, s’avère être un joyeux luron qui multiplie les bizarreries, comme celles d’être végétarien (il est quand même capable d’offrir un repas de melons à ses illustres invités – au 17ème siècle !).
Les deux compères aiment s’enfermer dans des salons pour philosopher, même si parfois cela fait place à quelques travaux pratiques …

Château XVIII, Domaine de Villarceaux

Château XVIII de Monsieur du Tillet, Domaine de Villarceaux

Mais enfin, ce ne sont là que de futiles passe-temps car la vraie passion amoureuse de cette grande dame se déroule à Villarceaux, dans les bras verdoyants de la forêt du Vexin et dans ceux velus de son Marquis.
Et même si, 3 ans plus tard, de retour à Paris, les liens entre les amants se distendent, le domaine, lui, semble avoir été marqué pour toujours par cette belle aventure.

Voyez donc comme un ancien château fort, peu décidé à mourir, frotte ses ruines avec indécence contre le corps de logis de la demeure renaissance. Et ces jardins à l’italienne, respirant l’amour et mouillés d’eau qui chantent sous le balcon d’un jardin des simples, tirés à quatre épingles. Partout, les arbres et les fleurs s’enlacent savamment et contemplent leurs effets dans les bassins d’eau qui jalonnent le parc.

Seul le château rocaille de Monsieur du Tillet, drapé dans son allure martiale, et perché sur son talus en vertugadin, se tient à l’écart de cette partie fine qui se déroule à ses pieds. Le pauvre à été construit trop tard, au XVIIIème siècle, et n’a pas eu le bonheur de connaître nos deux libertins…

 

 

Infos Pratiques

Adresse : Domaine de Villarceaux, 95710 Chaussy

Horaires : De 14h à 17h. Visites guidées toutes les 30 min (sans réservation)

Le domaine est fermé du 15 octobre au 15 Avril

Tarif : L’entrée et les visites guidées sont gratuites

Tel : 01 34 67 74 33

Site web :  http://www.iledefrance.fr/villarceaux

Mes chers amis, vous avez la parole :

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Ici, pas de longs discours académiques,
Pas de dissection scientifique de l’Histoire,
Pas d’écartèlement de grands hommes entre des dates.

Ici, je vous propose de prendre une porte dérobée de l’Histoire, celle prévue pour les intimes. Tous mes amis vous y attendent. Venez donc prendre un café avec Monsieur de Sade, heu… non pas lui, on va attendre de mieux se connaitre ! Allons plutôt chez Diderot, il est super cool. Ensuite nous irons explorer des châteaux, et chemin faisant, je vous raconterai plein de petites histoires sympathiques…

Je vous propose que l’on s’amuse à créer des thématiques pour donner un alibi à nos promenades intempestives dans les siècles, et des raisons à nos conversations badines.
Vous avez une idée ? Hum… Je vous sens quelque peu timides. Allez hop, je donne le ton : ce sera Le libertinage ! A moins que vous ne préfériez Tortures et Châtiments ? De toute façon,  il y en a pour tous les goûts…

Moi, votre guide ? Mais non, voyons ! Votre meilleure amie historique, celle qui vous prend par le bras et vous chuchote les potins, les scandales et dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas…

Allez hop, c’est parti, suivez-moi !

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Aux grands artistes   Histoire Très Personnelle reconnaissante

Si vous émettez des gloussements de rire lors de la lecture d’Histoire Très Personnelle,
Si vous admirez au moins une personne née avant 1900,
Si la folie de votre imagination n’a d’égale que celle de votre passion,
Si cette passion est la photo, le dessin, le costume, le maquillage, la coiffure, etc.,
Et surtout de faire des choses aussi déjantées que belles…

Qu’attendez-vous pour contacter Histoire Très Personnelle ?
Votre place au Panthéon vous attend !

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Dame Ariane
15ème Siècle
Mademoiselle
de Riri
18ème Siècle

Qui suis-je ?

Je m’appelle Ariane.
Non, pas comme la fusée ! Rhooo… Comme la princesse de la mythologie grecque : ma sœur c’est Phèdre et mon frangin c’est le Minotaure. Quant à mon mari, il s’appelle Bacchus…
Oui je sais, que des cinglés, ce qui expliquerait peut-être mon grain de folie ?

Que fais-je dans la vie ?

Être (enfin) en accord avec moi-même, ce que je ne saurais mieux vous conseiller ; c’est-à-dire vivre de mes passions, prendre du plaisir et surtout, être moi-même.
Non, ce n’est pas un discours idéaliste d’ado attardée, au contraire ! Ça m’a pris 30 ans pour le comprendre,  et surtout, pour oser le faire…
J’ai travaillé de nombreuses années dans la mode en faisant des choses qui m’ont parfois déplu, et j’ai même monté ma propre marque haut de gamme pour femme.
Dans ce magazine, j’ai décidé de réunir toutes mes passions, ce qui donne pêle-mêle : l’Histoire, l’écriture, la direction artistique (et même, je l’avoue, un soupçon de mode, pas pu m’en empêcher !).
La seule passion manquante à l’appel ici est le cinéma, mais ça viendra, je vous en réserve la surprise…

Alors certes, je ne gagne presque pas un rond mais n’empêche, vivre ses passions, qu’est-ce que c’est bon… Une vraie vie de luxe que je souhaite à tout milliardaire !

Pourquoi j’écris ce magazine ?

Franchement, vous en connaissez beaucoup parmi vos amis qui, comme moi, vont se rincer une dent avec le prince de Talleyrand (qu’est-ce qu’il picole celui-là !), coller des baffes à Robespierre ou encore faire la fête avec Marie-Antoinette ?
Non ? Alors, vous voyez, il faut bien que je vous raconte !

Moi au Moyen-Age

Ah, c’est vous mes amis ? Ouf, j’ai eu peur que ce soit quelqu’un d’ici qui m’ait pris en flag !

Je vous explique :

Comme vous le savez, je voyage dans les siècles à la rencontre de mes amis. J’étais donc partie me promener au 15ème siècle pour aller rendre visite à deux copines :  Agnès (Sorel) et Jeanne (d’Arc). Seulement voilà, cette gourgandine d’Agnès est occupée à forniquer avec son Carlito (Charles VII) . Quant à Jeanne, elle est plus ou moins devenue schizo depuis qu’elle entend des voix (ne le dites à personne, surtout pas aux Anglais, mais elle manigance pour prendre la tête d’une armée, n’importe quoi !).

Bref, tout le monde est très occupé et je m’ennuyais. Comme ce ne sont pas les activités fun qui pullulent à cette période de l’Histoire, je suis donc allée faire un tour à l’église, histoire de faire bonne figure et surtout bonne lecture.
Seulement je n’aime pas trop la Bible, il n’y a pas pire pour filer des maux de crâne (et ici pas la peine de chercher d’aspirine, vous ne trouverez que des hosties). Du coup, je remplace le livre Saint par le Saint des livres : le kamasutra. C’est l’accessoire indispensable quand on voyage au Moyen Age, je l’emporte toujours avec moi.

Mais chut ! Ne le dites à personne car je n’ai pas envie de me faire griller (au sens propre du terme !).

Bon, maintenant que vous êtes là, ça vous dit d’aller faire un tour chez ma meilleure amie, Marie-Antoinette ?

Moi au 18ème siècle

Votre voyage depuis le Moyen Age s’est bien passé ?
Moi, je viens de prendre 3 siècles et j’en ai les cheveux qui ont blanchi !

Nous voici chez Marie-Antoinette, mon illustre amie.
Elle adore organiser des sauteries dans son hameau. C’est Loulou qui lui a fait construire ce petit endroit.
Il est certes hyper sympa, mais ça a coûté les yeux de la tête, paraît-il… D’ailleurs pas plus tard qu’hier je lui disais : « Toinette, tu fais ta coquette en jouant à la paysanne avec tes moutons à 3000 dollars, mais ça en énerve plus d’un, tu sais ! Un jour ça tournera mal…».

Enfin bref, aujourd’hui on y joue une pièce de théâtre, veuillez donc excuser ma tenue champêtre quelque peu décontractée. Je me suis habillée à la hâte ce matin, en à peine une heure et demie, c’est vous dire…

Ça vous dérange si je boulotte un cupcake ? J’en ai piqués à la laiterie tout à l’heure, il parait que c’est Lafayette qui a ramené cette curiosité des Etats-Unis, j’en suis folle ! (de l’un comme de l’autre).
Chut, parlons moins fort ! Toinette est en train de jouer sa pièce de théâtre. Cachez-vous donc derrière mon éventail et continuons notre causerie à voix basse.
Entre nous, vous ne trouvez pas que son jeu d’actrice est pitoyable ? C’est comme cette duchesse de Polignac qui…
Comment ça, je critique ? Mais évidemment, voyons ! Manger et médire sont les plus savoureux passe-temps de ce siècle.

Allez, mes amis, je cesse de vous ballotter entre les siècles, cette fois c’est moi qui viens à vous…

Moi au 21ème siècle

Salut les amis, on se fait la bise ?
Ah… de retour au 21ème siècle, ça fait du bien !
Veste, legging et chewing-gum, c’est à ça que l’on sait qu’on est revenu à la maison.

Bon, on se fait la photo finale ? Afin que vous sachiez enfin à quoi je ressemble telle que Dieu m’a faite (et aussi la mode printemps-été, j’avoue !)
Meeeer… juste au moment où je faisais ma bulle de chewing-gum ! C’est fou cette faculté naturelle que j’ai de me faire prendre en flagrant délit de mauvaise conduite… Mais bon, autant vous y habituer dès à présent, parce que ce n’est pas prêt de changer ! ( Maman si tu me lis : désolée…)

Maintenant que la glace est définitivement rompue entre nous, on va pouvoir se balader en toute liberté et en toute intimité dans les différents siècles !

L’Histoire, c’est Mon Histoire…

Allez hop, c’est parti, suivez-moi !

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Vous trouverez ici tous les futurs plans de vol : nos prochaines destinations (les articles à venir), et les nouveaux grands voyages dans l’Histoire (les nouveaux thèmes).
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Nouveau Grand Voyage : L’Amour

Prochaines Destinations

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Dans le thème « Tortures et Châtiments » : Cartouche, un homme explosif

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Dans le nouveau thème de « L’Amour » : Château de Maisons-Laffitte (A Monsieur le Marquis)

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